Après avoir traité de toutes les guerres possibles et imaginables, SABATON s'attaque aujourd'hui à la "Grande Guerre" qui ravagea l'Europe entre 1914 et 1918.
Nous avions quitté les suédois en 2016 sur un The Last Stand solide et efficace mais la recette "magique" du groupe commençait à montrer quelques signes de fatigue...qu'en est-il de ce The Great War très attendu des fans et des amateurs du genre en général?
SABATON a voulu voir les choses en grand pour ce nouvel album (qui traite cette fois d'un seul et même conflit) et on a ainsi pu voir le groupe assurer la promotion de ce dernier à Verdun ou une session d'écoute était organisée pour la presse.
Musicalement, le style pratiqué par le groupe sied à merveille au concept, ainsi les titres guerriers et grandiloquents nous plongent directement au cœur du conflit et transcendent ici le propos. Certes SABATON fait toujours du SABATON mais quelques innovations pointent le bout de leur nez (The Red Baron et son orgue Hammond et qui ressemble à s'y méprendre à Easy Livin' de URIAH HEEP) et sont les bienvenues.
La courte durée de l'album (comme souvent chez SABATON) permet au groupe d'aller ainsi à l'essentiel et proposer des titres d'une redoutable efficacité (The Fields Of Verdun, Great War, Seven Pillars Of Wisdom...) faisant une nouvelle fois mouche et se permet même le luxe de conclure l'album avec The End Of The War To End All Wars qui est certainement le titre le plus ambitieux des suédois en termes de composition et d'arrangement!
Avec The Great War, SABATON nous offre une fois de plus un excellent album au concept ambitieux ou l'interprétation sans failles et les compositions admirables servent un propos historique et dramatique.
Titres de l'album :
"...jouer un concert en Arabie Saoudite. Un honneur absolu et un privilège. Les loups du nord apporteront la tempête hivernale à Riyad !"Un véritable honneur absolue de jouer en Arabie Saoudite, la ou les apostas sont condamnés &agra(...)
21/11/2024, 08:46
Quand on se souvient du petit son des années 80... Mais la prod ne fait pas tout, ça reste du pilotage automatique. C'est pas avec un truc pareil que je vais me réconcilier avec eux, et ça fait 20 piges que ça dure.
19/11/2024, 21:57
J'avais pas vu cette chronique. J'étais au soir avec Ulcerate et je n'ai pas du tout regretté...Le lieu : il y a forcément un charme particulier à voir ce genre de concert dans une église, surtout que le bâtimen(...)
15/11/2024, 09:51
Le who's who des tueurs en série. Un plus gros budget pour l'artwork que pour le clip, assurément. (...)
14/11/2024, 09:20
J'imagine que c'est sans Alex Newport, donc, pour moi, zéro intérêt cette reformation.
11/11/2024, 16:15