Perhaps one did not want to be loved so much as to be understood. (George Orwell, 1984)
Mais parfois, on se fout bien d’être compris, à partir du moment où on est aimé. C’est en tout cas ce que ressentent certains artistes dont la démarche reste obscure pour le public, du moins à un instant T, qui détermine une fois pour toute leur champ d‘action, et osons-le terme, leur génie commercial.
Le 1984 décrit par Orwell en 1949 n’a pas eu lieu en temps et en heure. Bien au contraire. Si l’interventionnisme des gouvernements tenait parfois lieu d’un protectionnisme acharné, les caméras de sécurité et le contrôle de la connaissance étaient encore des cauchemars futuristes, malheureusement bien réels aujourd’hui. Mais dans les années 80, l’heure était à la joie, à l’insouciance, et au consumérisme affolé. L’hédonisme était alors l’étalon-or standard d’une génération nourrie à MTV et aux yuppies, aux albums platine, et aux clips chamarrés. Et même ceux nés dans les années 70 participaient à la fête, sans rechigner. Pourtant, cette décennie plus chic que choc avait de quoi rebuter les puristes, qui ne trouvaient plus leur compte dans ces boites à rythmes, ces synthés, ces nuits de folie et cette montagne de drogue à vous abrutir un Tony Montana.
Les synthés.
L’ennemi numéro 1 du Hard-Rock, le vilain petit canard, cet instrument hideux que même Ronnie James Dio planquait en arrière-scène dans la pénombre, pour ne pas choquer son public. Mais pas d’erreur, malgré les réticences et l’éthique, les synthés étaient partout, absolument partout. Même le sacro-saint JUDAS PRIEST, l’idole Metal par excellence s’y est mis. C’est dire si l’ajout de volutes synthétiques était inévitable en cette période de charts boostés et de superstars cajolées. Mais lorsqu’on s’est fait connaître par un jeu de guitare volcanique, on a quand même du mal à faire passer la pilule des ébènes et ivoires de studio pour vendre son dernier hit en date.
Le nom d’Eddie Van Halen est sur toutes les lèvres depuis la fin des années 70. Le petit prodige venu des Pays-Bas a retourné le monde de la guitare électrique de la même façon qu’Hendrix l’avait traumatisé dans les sixties, et il ne lui a suffi pour ça que d’une minute et quarante-deux secondes. Ce que durait l’instrumental « Eruption » et son tapping venu de l’enfer. Les deux mains sur le manche, le sourire californien aux lèvres, et une explosion de plaisir dans le marasme Post-punk et Disco de 1978. Le Rock était-il encore vivant ? Nous avait-on menti ?
Oui, et pas qu’un peu.
Pour se livrer à une analyse approfondie du phénomène 1984, il faut quand même se replonger un peu dans les années qui l’ont précédé. Depuis la sortie de cet éponyme épileptique en 1978, le landerneau international du Hard-Rock n’a d’yeux que pour son nouveau Dieu, Eddie VH. A tel point que tous les groupes s’inclinent, à commencer par BLACK SABBATH qui s‘est vu imposer le quatuor en première partie, au grand dam de Tony Iommi, qui s’en est retrouvé fort marri lorsque son groupe s’est fait huer alors que ces petits malins s’imposaient dans le cœur des fans. Pas facile d’être une légende à l’agonie quand la nouvelle génération vous laisse comprendre que vous êtes fini, même si deux mythes peuvent cohabiter dans le temps. Mais VAN HALEN a quelque chose que les autres n’ont pas. Ou plutôt, plein de choses que les autres n’ont pas. Eddie bien sûr, mais aussi David Lee Roth, frontman ultime, beau gosse incarnant la Californie plus brillamment que n’importe quelle playmate en bikini, le sourire carnassier, et l’énergie de ceux qui savent qui ils sont vraiment.
Des stars.
I, puis II, puis Women and Children First, Fair Warning, trois ans après sa découverte mondiale, VAN HALEN carbure toujours à la nitro et enregistre ses albums le plus rapidement possible pour ne perdre ni son élan, ni son énergie, ni sa verve créative. Mais toute machine à ses limites, que les maisons de disques se plaisent à ignorer. Car tant que l’orange donne du jus, on continue de la presser. Au risque de se retrouver à court de vitamine C. Alors, à contrecœur, Eddie enregistre le mitigé Diver Down, bricolé à la hâte alors même qu’il s’apprêtait à prendre quelques vacances bien méritées. Mais Warner Bros ne l’entend pas de cette oreille, et puis après tout, le single « Oh Pretty Woman » a cartonné, alors autant continuer à battre le fer. En découlera un disque avec pas moins de cinq reprises, des brouillons plus ou moins géniaux, et des essais pas vraiment concluants. Et si son aspect bancal en fait son originalité, et si quelques fans affirment dans le secret des alcôves qu’il pourrait bien être leur disque préféré, le groupe sait bien qu’il peut faire bien mieux que ça, à condition d’avoir un peu de temps.
Alors, le temps, Eddie va le prendre.
Il va d’abord prendre le temps de construire son studio, le fameux 5150 du code donné par la police de Californie pour signaler un incident impliquant un malade mental. Mais les quatre membres de VAN HALEN étant des malades mentaux dans leur genre, il n’y a pas à être étonné par ce choix. Aidé par Donn Landee, l’ingé-son fidèle, Eddie remplit la pièce avec ses machines, mais aussi avec un vieil ami. Ayant commencé l’apprentissage de la musique par le piano (merci à Stasys Kalvaitis et ses leçons), Eddie commence à tâter du synthé pour combler le vide de l’ennui, joue jusqu’à trouver le son qui lui convient, et finalement, compose en solo ce qui deviendra l’ossature du sixième album du groupe, 1984.
Et ce, sans être emmerdé par Lee Roth ou Ted Templeman.
En effet, le fantasque chanteur et le tempétueux producteur n’aiment pas les synthés. Et après tout, VAN HALEN s’est fait connaître par ses riffs rageurs et juvéniles, alors quel intérêt de tremper son inspiration dans la mélasse eighties alors même qu’on a défini le son de la décennie avec des amplis ? D’ailleurs, Lee Roth a déjà refusé à plusieurs reprises d’écrire des paroles sur l’instrumental « Jump », jugeant le son inadéquat et indigne de son talent. Il faudra des années à Eddie pour le convaincre, et finalement, « Jump » deviendra le plus gros hit du groupe, et encore aujourd’hui, le marqueur d’une époque qui sautait dans tous les sens. Evidemment il faudra éviter de se souvenir que le texte a été écrit après avoir vu un reportage aux actualités à propos d’un homme menaçant de se jeter du haut d’un building, mais comme Lee Roth a aussi affirmé qu’il parlait d’une strip-teaseuse, le compte est bon.
Et les chiffres vont monter haut eux aussi.
Mais nous n’en sommes pas encore là. L’album est enregistré, le parti-pris mi-guitare, mi-synthé mi-figue mi-raisin presque digéré, mais tout le monde n’est pas forcément content. Et évidemment, le plus mécontent reste le frontman, qui ne reconnaît plus le groupe qu’il a rejoint il y a quelques années. Mais faisant contre mauvaise fortune bon cœur, Diamond Dave se donne quand même à fond, et pas seulement en studio. Il illumine les clips de sa présence, nous offre des grands écarts, des pas de danse, quelques mimiques symptomatiques, et son chant toujours très tongue-in-cheek fait merveille sur les compositions les plus débridées de l’album.
Oui. « Jump » n’est pas seul sur ce disque et le reste du répertoire est en quelque sorte un bilan de carrière, un entre-deux, qui résume les débuts et dessine le tableau des évènements à venir. On trouve tout VAN HALEN sur ce disque, et Eddie, toujours en verve, nous réserve encore des soli incroyables, qui seront copiés, imités, singés, mais jamais égalés.
Mais comme Warner Bros mise tout sur « Jump », les fans se sentent lésés. Ils ne se reconnaissent pas dans cette ritournelle Pop-Rock édulcorée pour le Billboard, et auraient préféré qu’Eddie joue le riff de claviers à la guitare, pour obtenir le gros tube Hard-Rock que tout le monde attendait. Un truc plus fun, moins rigide, et surtout, moins putassier. Numéro 1 des charts US dès février 1984 et ce pour cinq semaines, « Jump » laisse aussi son clip parler de lui-même, et tente de faire passer la pilule de cet Oberheim OB-Xa manipulé par un guitariste qui a soudainement oublié qu’il en était un. La vidéo, qui n’a pas coûté bien cher, montre le groupe sur scène en mode super-8, avec Lee Roth bondissant comme un cabri gymnaste sous amphétamines. Moues boudeuses, complicité de surface, Pete Angelus tente d’apporter une cohérence à un groupe déjà miné par les tensions, mais Robert Lombard, producteur du clip, commet le crime de lèse-majesté de ne pas utiliser les séquences tournées par Lee Roth en solo. Il le paiera cher et sera viré, et son travail sur la vidéo ne sera jamais reconnu.
Car le groupe est au bord de l’implosion. Des années après avoir été découverts par KISS, les quatre musiciens dont deux frangins ont du mal à faire croire encore que VAN HALEN est un groupe, alors même que David se considère largement au-dessus des trois autres. Son ego, percutant celui des frangins créé un vortex qui avale toute amitié sur son passage, et c’est sur trois pattes que le groupe continue son parcours.
Mais bien au-delà de « Jump » et ses cabrioles synthétiques, 1984 réserve des cadeaux de taille. A commencer par « Panama », autre single explosif, mais porté quant à lui par une guitare mordante. Inspiré une fois de plus par une strip-teaseuse et une voiture (après avoir été écrit par un David Lee Roth assez énervé qu’un journaliste ne lui fasse remarquer qu’il était incapable d’écrire sur autre chose que le sexe, la picole et les bagnoles), le titre est cette fois-ci beaucoup plus symptomatique du VAN HALEN de « You Really Got Me », bien que la rythmique Alex/Michael soit aussi policée que celle d’un ZZTOP boite à rythmé. Beat plombé, cymbales qui vrillent, pont mélodique pour sensibilité ouverte, cet autre tube de 1984 est sans doute la véritable introduction au VAN HALEN des mid eighties, et l’occasion de tâter de la caméra une nouvelle fois.
Et Dieu sait si David Lee Roth aime ça.
Au rayon video killed the radio stars, « Hot For Teacher ». La chanson la plus radioactive du nouveau répertoire, et qui pour les spécialistes et die-hard reste l’incarnation la plus parfaite du VAN HALEN historique. Il faut dire qu’entre ce riff diabolique et bluesy, et cette rythmique pulsée par Alex sur quatre grosses caisses, les tympans sont pris dans un étau, mais le cœur palpite comme celui d’un premier communiant à qui le curé fait de l’œil. Cette histoire de prof sexy qui rend les élèves marteau est un vrai coup de génie d’Eddie, et permet à quatre gamins d’incarner nos stars préférées dans un lycée fictif.
Des playmates (Donna Rupert et Lillian Muller), une salle de classe qui ressemble à un commissariat de Los Angeles, et surtout, un Waldo transpirant aux chaussettes trop basses. Chanson emblématique de l’hédonisme Halenien, « Hot For Teacher » est une récréation qui tourne au lupanar, un hymne aux plaisirs de la vie, et un joli pied de nez à l’école, qui ne forme pas les artistes et les laisse dans un coin à ruminer leurs gammes. Le beat trépidant d’Alex, la guitare débridée et excitée d’Eddie, le chant évidemment gouailleur de Dave, tout contribue à faire de ce simple morceau l’hymne d’une génération qui préfère sécher les cours pour regarder la télé. Avec un clip coréalisé par Lee Roth, il ne fallait pas s’attendre à moins que cette démonstration de cancres en pleine puberté, et si Alex a été incapable de danser en rythme avec les trois autres, David en a profité pour s’illustrer en présentateur préféré des américains, le pantalon tâché d’urine…sur MTV.
Bien joué.
Avec seulement trente-trois minutes au compteur, 1984 est de ces albums qui passent comme un dragster sur la route, sans freiner ni baisser la vitre. Mais c’est exactement ce qu’on attend de VAN HALEN qu’on imagine bien en Ford Hot Rod de 1932, les cheveux dans le vent, le jean côtoyant le spandex, et les groupies amassées à l’arrière attendant un arrêt minute et une dédicace. Néanmoins, il convient de préciser que l’album contient aussi des choses plus posées, plus pensées, et disons-le, plus sérieuses.
A posteriori, impossible de ne pas voir en « Drop Dead Legs » le futur d’un groupe qui ne va pas tarder à voler en éclats de gloire. On y entend la guitare d’OU812, celle de « Cabo Wabo » et donc l’avenir avec un autre que Lee Roth. Ce mid tempo lourd est en effet caractéristique de ce que VH va devenir avec 5150, bien que personne à l’époque n’ait la capacité de prédire que les frangins et Lee Roth allaient marcher sur des routes séparées.
Logiquement choisi comme deuxième single, « I'll Wait » traîne pourtant ses synthés comme le fera OU812, se montre particulièrement peu inspiré, malgré un refrain à reprendre en cœur avec Diamond Dave. C’est d’ailleurs le titre qui donnera le plus de fil à retordre au groupe, Ted Templeman leur conseillant de s’allier à la force vive Michael McDonald des DOOBIE BROTHERS, qui écrira le texte et la mélodie avec David. De cette collaboration sortira quand même une autre bête de classement, « I’ll Wait » se classant, comme « Panama » en treizième position du Billboard. Seule différence entre les deux, « I’ll Wait » ne connaîtra pas l’honneur d’être illustré par une vidéo, les emplois du temps des musiciens ne le permettant pas, Dave louchant déjà sérieusement sur sa carrière en solo.
Mais en dehors des sentiers battus, et des prouesses commerciales, 1984 savait aussi se rappeler de la fougue d’antan, formidablement bien retranscrite par le bondissant « Girl Gone Bad ». Avec un Eddie au sommet de sa forme et un Alex survolant ses futs comme un vautour sa proie, ce morceau est sans doute ce que cet album radiophonique proposait de plus solide et agressif, et couplé à l’excellent épilogue « House of Pain », il offrait une fin majestueuse et digne d’un groupe au top de son talent et de son image.
Bien planqué après l’expressif « Panama », « Top Jimmy » est lui aussi devenu une référence pour les fans nostalgiques. Sa longue intro renvoyant directement à Fair Warning, et sa substance en harmoniques effleurées rendant hommage à la technique immense d’Eddie en font un tube incontournable, léger comme une bulle de savon, au format Eurovision, mais à l’humeur badine et à la frappe mutine.
Les chansons, les textes, les vidéos, le son, d’accord. Mais avant tout ça, 1984 était aussi une pochette. Cet angelot qui fume est devenu l’icône de la génération MTV, et incarne avec brio le contenu qu’il cache, d’une moiteur infernale. Entre ange et démon, entre le sourire plein de santé d’Eddie et les mains aux fesses de David, VAN HALEN est le Jeckyll & Hyde de son époque, le genre qui vous fait les poches après vous avoir présenté sa mère.
Mais avec style.
Encore une fois produit par le maître Ted Templeman, 1984 fera mieux que corriger le tir du tiède Diver Down. Il instaurera une nouvelle norme pour le Hard-Rock des années 80, entre le DEF LEPPARD de Pyromania et l’AEROSMITH de Toys in the Attic. Souvent classé à tort comme représentant de la vague Hair-Metal déferlant alors avec une puissance hors du commun, il se permettra de titiller des scores de vente hallucinants, avec pas moins de dix millions de copies écoulées à la maison, et un bon chiffre à l’export.
Enfant de son époque, cet album incarnera à parts égales un point final et un nouveau départ. David Lee Roth, de plus en plus mégalo et mécontent de l’orientation prise par Eddie, qui a montré son pouvoir de décision en composant sans lui, se tirera après la tournée, pour fonder son nouveau groupe, entièrement monté comme piédestal de son bagout de bateleur. Avec Steve Vaï en guise de nouvel Eddie, un Billy Sheehan beaucoup plus doué que le pauvre Michael, il lâchera un énorme pétard dans la souricière VAN HALEN avec Eat’em And Smile, qui poussera les fans à dire que Lee Roth était peut-être le nouveau VAN HALEN, né de la scission et des rancœurs.
De son côté, Eddie recrutera le red rocker Sammy Hagar, et transformera l’essai avec un 5150 inspiré, mais encore une fois bien trempé dans les synthés.
La France, peu complaisante envers le Hard Rock accueillera toutefois « Jump » avec bienveillance, comme elle le fera plus tard avec le tromblon « The Final Countdown » des suédois d’EUROPE. Mais alors que des groupes comme STYX, REO SPEEDWAGON, JOURNEY ou ASIA abusaient déjà des claviers bien avant VAN HALEN, 1984 signera la nouvelle norme des productions eighties, et décomplexera tous ces musiciens avides de gloire et de succès plus que d’estime.
Mais…
Aucun ne parviendra à égaler la folie émanant de cet album incroyable, concentré d’énergie, et insouciant comme un lycéen ayant juste obtenu son bac, et pensant déjà à son été d’enfer. La guitare d’Eddie, la verve de David et la pulsation turbocompressée d’Alex et Michael ont uniquement été stoppés à la porte de la gloire par Mickey Jackson et son omniprésent Thriller, mais personne n’était dupe.
Les années 80 allaient être la terre promise d’un Hard-Rock fun, mélodique, à la frontière de la Pop, et sexy comme cette prof de chimie dans le clip de « Hot For Teacher ». Et quarante ans plus tard, presque jour pour jour, 1984 n’a rien perdu de sa jeunesse, et tourne encore en boucle dans les chambres maintenant bien rangées des quinquagénaires qui n’ont jamais jeté leurs t-shirts à la poubelle.
« Yes I’m hot » hurlait Dave. Et il l’était ce salaud, il l’était. Mais le mois de janvier 1984 aussi. Il parait d’ailleurs qu’il a été le plus chaud de la décennie chez les disquaires. On en a la mémoire qui sourit rien que d’y repenser.
Même Waldo.
Titres de l’album:
01. 1984 (Instrumental)
02. Jump
03. Panama
04. Top Jimmy
05. Drop Dead Legs
06. Hot for Teacher
07. I'll Wait
08. Girl Gone Bad
09. House of Pain
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