Pour ce live-report nous avons "mixé" nos textes. Donc vous trouverez parfois (souvent même) 2 avis sur un même groupe.
Voici le report du Samedi. La suite et fin demain !
HEART ATTACK (L’Apache)
Ce samedi, la journée commence avec HEART ATTACK, à vrai dire à la base je ne pensais pas à aller les voir, mais nous sommes arrivés un peu plus tôt sur le site pour INGESTED, un peu trop du coup… Mais ce n’est pas grave nous nous dirigeons devant la Dave Mustage pour profiter de ce groupe. Et il s’avère que c’est une plutôt bonne surprise, le groove est là, et les grosses rythmiques sont très présentes, donc il est assez aisé d’y trouver son compte. On sent fortement les influences Machine Head, Pantera voir Gojira sur certains gros allers-retours. Cela dit le groove trouve un bon compromis qui leur permet de séduire le public présent. Je ne pense pas aller réécouter leurs albums par la suite car c’est exactement le type de musique qui ne me plait qu’en live.
(Jus de cadavre)
J'ai la tête en vrac en me réveillant le samedi matin. J'imagine pas ceux qui ont continué la java dans le camping jusqu'au petit matin. Petit déjeuner pour se remettre d'aplomb avec, en plus, un invité surprise : Fetus d'ULTRA VOMIT qui errait seul sur le parking et qu'on invite à boire un... thé. On passe donc un très bon moment à parler du concert d'hier et de... cinéma !
INGESTED (Jus de cadavre)
Direction la Supositor Stage. Les anglais proposent un Slamming Brutal Death Metal ultra vénère. Je les ai déjà vu à l’œuvre il y a quelques mois à Rennes mais avec un autre chanteur. C'était Jason le hurleur d'ORIGIN qui remplaçait Jay Evans pour une tournée. Et le remplaçant justement avait été plus que convainquant ! Alors Jay s'en sort bien aussi, mais c'est un peu moins impressionnant vocalement je trouve. Nous ne sommes pas en salle non plus et ça change un peu la donne aussi... mais force est de constater que le gang Anglais s'en sort très bien. Musicalement nous sommes dans du Death Metal très brutal saupoudré de Deathcore et de grosses parties Slam qui font groover le public qui en redemande. Les gars d'INGESTED, et Jay en particulier, sont particulièrement contents d'être là, leurs sourires et chaleureux remerciements tranchent avec la brutalité proposée. Les fans semblaient ravis.
INGESTED (L’Apache)
C’est donc au tour de INGESTED, de jouer sur la Supositor Stage, un concert que j’attends avec impatience. Exerçant dans un style que j’adore, à savoir le Slam Brutal Death, je m’attends à un concert purement violent. Je ne suis pas déçu, le groupe démarre avec 2 morceaux de son nouvel album, des morceaux qui s’avèrent toujours aussi efficaces que les anciens. Jay Evans, le chanteur est tout bonnement impressionnant et délivre une énergie folle sur scène. Malgré le genre pratiqué par le groupe, qui n’est pas des plus subtile, nous avons quand même affaire à des ambiances assez variées grâce à la lead guitare. Le groupe figure dans mon top 3 du week-end sans aucun souci.
Setlist INGESTED : Purveyors of Truth / Sovereign / The Divine Right of Kings / Narcissistic Apathy / Better Off Dead / Skinned and Fucked / Invidious.
BLOCKHEADS (L’Apache)
Juste le temps d’aller boire une bière et un de goûter un sandwich et on est de retour sur la Supositor, pour voir quoi ? Encore du GRAS !!! En effet, les Français de BLOCKHEADS ne font pas dans la dentelle, exerçant dans un Punk Grindcore ultra violent le groupe vient foutre le bordel sur nos terres bretonnes. On sent le grain de la HM2 boostée au max qui vient nous arracher les oreilles. Le show redouble d’énergie, mais bien que je sois un amateur de violence Slam / Brutal Death, ce type de Grindcore me plait un peu moins, le son est un peu trop crade pour moi, impossible de comprendre les riffs. Cependant la prestation est à la hauteur de ce qu’on peut attendre d’un bon groupe de Grindcore et je prends plaisir à les regarder, et voir le pit dans tous ses états.
HANGMAN'S CHAIR (Jus de cadavre)
On change totalement d'ambiance avec les français de HANGMAN'S CHAIR sous la Massey Ferguscene. Première fois pour moi devant les franciliens. Je suis pourtant le groupe depuis leur premier album de 2007. (A Lament for...) The Addicts m'avait en effet beaucoup plu. A l'époque ce premier effort avait bien secoué la scène Stoner / Doom française qui manquait cruellement de leader. HANGMAN'S CHAIR a depuis pas mal évolué et devant nous sur scène, aujourd'hui, c'est un groupe hyper classe et qui m'impressionne beaucoup. Le son est très bon et lourd mais loin des exagérations de certains groupes du genre. Les gars ont trouvé leur propre voix et proposent une musique très personnelle qui s'éloigne des maîtres du style. Je suis bluffé par la justesse du chant de Cédric, bourré de maîtrise et de feeling. Rarement je n'avais ressenti autant d'émotions passer par le chant. Et en live en plus. Le gaillard me colle carrément des frissons par moments et Miss Jus de cadavre (qui m'accompagne pour son premier fest Metal) n'en revient pas d'assister à un tel concert au milieu de toute cette brutalité. Ils ont une nouvelle fan aujourd'hui ! Je me prends un t-shirt du dernier album, Banlieue Triste, sorti en mars dernier au merch. La grande classe ce groupe.
Setlist HANGMAN'S CHAIR : Intro / Naïve / 04/09/2016 / Dripping Low / Cut up Kids / Flashback / Full Ashtray.
SUICIDAL ANGELS (Jus de cadavre)
Les Grecs de SUICIDAL ANGELS, me sortent de ma torpeur post HANGMAN'S CHAIR avec leur Thrash incisif sous la Dave Mustage. Absolument rien de nouveau à l'horizon, c'est du Thrash 100% pur jus, mais ultra efficace, et sans doute un peu plus extrême que d'autres de la vague, plus si nouvelle que ça, de revival Thrash qui souffle sur la planète Metal depuis quelques années. Pas grand chose à ajouter : si vous savez ce que veux dire Thrash Metal, vous savez comment sonne SUICIDAL ANGELS. C'était bagarre !
NECROWRETCH (Jus de cadavre)
Il y a 2 groupes que j'attendais particulièrement pour cette éditions et NECROWRETCH en faisait parti. Je suis le groupe depuis ses débuts il y a 10 ans. Et en 10 ans les français en on accompli des choses. Des albums acclamés par tous les aficionados de "pur" Death Metal de la planète, des tournées en France mais aussi à l'étranger. Une foi et une passion en cette musique inébranlable. Et ça, ça me parle. Le groupe entame méchamment son concert sur la Supositor par les 3 premiers morceaux de son dernier album Satanic Slavery. L'effet est juste dévastateur ! Comme sur album c'est une avalanche de blast de fureur et de cris primales qui sortent des enceintes ! Pas de blabla, les titres s’enchaînent à toute vitesse et les musicos ne s'économisent pas sur scène, ça suinte le Death Metal putride par tous les poils ! Le batteur tance le public, très présent devant la scène, de son regard de fou à lier tandis que devant lui Vlad, Kev Desecrator et Wence headbangent à s'en péter les cervicales. Bon Satan que c'est bon ! J'avoue que je n'en reviens pas de retrouver la même furie, le même son et la même bestialité que sur album. NECROWRETCH est un bijou de Death Metal de puriste, old-school et viscéral. Et c'est français s'il vous plait ! Alors Total Support !
NECROWRETCH (L’Apache)
Vous l’aurez compris cette après-midi on aura passé notre temps devant la Supositor Stage, et pour cause encore un autre groupe incontournable pour cette édition 2018 qui vient nous délivrer sa musique provenant du fin fond des enfers. C’est au tour de NECROWRETCH de venir nous balancer son mélange de Black et de Death qu’ils nomment sublimement Putrid Death Metal. Après le succès de son premier album Putrid Death Sorcery en 2013, le groupe a enchaîné sur deux autres albums tout aussi bons. On prend un malin plaisir à les écouter, le jeu de scène du groupe est selon moi un peu light, j’aurais par exemple apprécié les voir de nuit avec des jeux de lumières beaucoup plus présents afin de nous plonger davantage dans leur univers. Cependant le regard diabolique de Vlad (Chant – Guitare) nous hypnotise et nous rappelle à l’ordre.
Setlist NECROWRETCH : Sprawl of Sin / Satanic Slavery / Tredeciman Blackfire / Goat Headed / Black Death Communion / Hellspawn Pyre / Bestial Rites / Putrid Death Sorcery / Even Death May Die / Verses From the Depths.
THE BLACK DALHIA MURDER (L’Apache)
J’aurais dû attendre un sacré moment avant d’aller visiter la Massey Ferguscene, cependant à 20h25 précise, le groupe que j’attendais le plus de voir ce week-end y donne son concert. Je parle bien évidement de THE BLACK DALHIA MURDER. On m’a longtemps vanté les shows de ce groupe, et en tant que fan de leur musique, c’est avec impatience que je m’en vais les voir. Bien sûr, pas de surprise le show est impeccable, carré, et je reste scotché par le talent des musiciens. Tous les tubes du groupes y passent, le plaisir est tel qu’on décide de se jeter dans la fosse, pour une ambiance de folie, « Everything Went Black » déchire le pit, mon morceau préféré du groupe, le plaisir est à son comble et le concert passe beaucoup trop vite pour moi. On en veut encore !
CANNIBAL CORPSE (Jus de cadavre)
Je ne regarde THE BLACK DAHLIA MURDER que de très loin et pas bien longtemps : je préfère aller me trouver une place sous la Dave Mustage pour CANNIBAL CORPSE. TBDM (pour les intimes) attire la foule sous la pauvre Massey Ferguscene qui dégueule de monde ce soir. Les mecs de Detroit, comme à chaque concert sont à fond et déroule leur Death Melodic à toute berzingue et avec une précision chirurgicale. Bon après, à un concert de TBDM, tu n'as jamais de mauvaise surprise mais pas de bonne non plus... Le son me parait bon de là ou je suis. Mais comme je vous le disais je quitte la Massey pour les légendes du Death Metal qui ne blastent pas : CANNIBAL CORPSE.
Ça fait des années que je ne les ai pas vus sur scène CANNIBAL. Alors je suis bien content je l'avoue. Un gigantesque backdrop avec le logo du groupe, qui ne passe même pas en entier, orne la scène. Sinon rien d'autre, à part 5 cinglés qui se décrochent la tête en jouant leur morceaux. Et ils secoueront leur chevelures assez lentement pendant la première partie du concert. En effet les Floridiens privilégient les morceaux les plus "lents" pour entamer le set (ça vieilli les gars ?). Le son est balèze et très puissant, mais il ne se passe absolument rien sur scène. C'est un peu l'usine pour les gars on a l'impression... Mais bon, les morceaux sont bons donc ça passe et puis c'est toujours très bien joué. George "Corpsegrinder" est en plus très en voix ou plutôt en gorge ce soir. Il est même extrêmement impressionnant. Comme toujours me direz vous. Bref il faut attendre un I Cum Blood pour que les choses s'agitent un peu et voir Corpsegrinder headbanger à une vitesse folle ("I win... again !" qu'il nous dit à la fin du titre après nous avoir proposé un concours de moulinet...). Make Them Suffer (ou George est impérial) et Hammer Smashed Face finissent de me convaincre que ça valait le coup quand même. Ah si, Trevor Strnad de TBDM viendra pousser des cris sur un morceaux en duo avec George.
CANNIBAL CORPSE (L’Apache)
On n’a pas le temps de se remettre de nos émotions, en effet CANNIBAL CORPSE passe sur la Dave Mustage, il me tarde de voir enfin ce groupe légendaire sur scène, ce sera une première pour moi. Je ne suis pas un expert de la discographie du groupe, mais sa réputation a depuis longtemps attisé mon attention, même si je ne suis pas un énorme fan, certain morceaux sont quand même des classiques incontournable de l’histoire du Death Metal. Je me trouve assez loin de la scène malheureusement, et l’essoufflement du à mon dernier concert ne me donne pas le courage d’aller plus loin. Cependant les fameux classiques du groupes viennent caresser mes oreilles, le show n’a pour moi rien d’exceptionnel, bien que le charisme de Fisher à allias Corpsegrinder me fait zapper ce détail. Plus les minutes passent plus je rentre dans le concert, je comprends mieux la notoriété du groupe maintenant. CANNIBAL CORPSE invite Trevor Strnad (The Black Dalhia Murder) pour un feat sur « Stripped, Raped And Strangled » si bien que je finis par retourner dans le pit sur « Hammer Shashed Face », le dernier morceau du set.
CELESTE (L’Apache)
Voilà un groupe que j’attendais au tournant, en effet CELESTE a la tâche difficile de jouer après CANNIBAL CORPSE. D’autant que la musique du groupe n’est pas aussi violente que ce que l’on aura entendu aujourd’hui. Cependant, ayant beaucoup aimé leur dernier album Infidèle(s), mais ayant aussi apprécié les précédentes sorties du groupe en remontant jusqu’à Misanthrope(s), j’étais septique quant à leur capacité à me tenir en haleine en live. Il se trouve cependant que le concert se passe plutôt bien malgré le fait que je sois très fatigué. Le show est vraiment très enivrant et appréciable à regarder, en jouant beaucoup sur la fumée et un éclairage sombre, où seulement leurs petites lampes frontales rouges s’illuminent. Ce n’est pas une grosse claque, mais un bon moment tout de même. J’essaierai de les revoir en salle à l’occasion.
BEHEMOTH (Jus de cadavre)
De retour sous la Dave Mustage pour... BEHEMOTH ! Très heureux de revoir la légende polonaise ici au MOTOC'. La dernière fois pour moi c'était ici même mais dans des conditions particulières : le matos du groupe (instruments, costumes, etc...) n'était pas arrivé sur le site avant le concert. Les polonais avaient donc emprunté des instrus à d'autres groupes (dont BENIGHTED) et avaient joué en civil ! Autant vous dire qu'aujourd'hui c'est tout l'opposé... La déco sur scène est somptueuse, très travaillée. Le son est magistrale et les effets pyrotechnique impressionnants. Je n'en avait jamais vu autant au MOTOC'... Et sous une tente en plus ! Rien que pour ça le concert valait le déplacement. Mais bon derrière musicalement ça assure grave aussi. Inferno à la batterie est énorme et très visuel dans son jeu, tout comme Orion et Seth. Mais le vrai spectacle c'est bien entendu Nergal. Le leader / guitariste / chanteur en fait des tonnes (costumes, flammes, discours martiaux, etc...) mais ça marche. Le public lui bouffe dans la main. La set-list fait la part belle au dernière sorties du groupe et nous avons aussi le droit au nouveau titre God=Dod, qui figurera sur le prochain album. Niklas Kvarforth de SHINING viendra épauler Nergal au chant sur une reprise de THE CURE (A Forest), non sans avoir fait un beau doigt d'honneur à tout le monde en arrivant sur scène. Un concert magistral mené de mains de maître par un Nergal au sommet... Et même les "non-fans" du groupe qui ont assisté au concert sont admiratifs devant tant de maestria. Et ça c'est la marque des grands. Des géants même. Pas de photo pour les polonais : fosse interdite aux photographes pour cause de sécurité (pyrotechnie).
PUNISH YOURSELF (L’Apache)
C’est au tour de PUNISH YOURSELF d’avoir la tâche difficile de jouer après tant de groupe fabuleux, et des shows tout aussi excellents les uns que les autres. On se dirige donc vers la Supositor Stage pour voir si nos Toulousains sont aussi bons que ce que les gens autour de moi le prétendent depuis un moment. Le concert résonne déjà au loin et on peut déjà avoir un avant-goût de ce que le groupe va nous délivrer. A peine arriver devant la scène que je secoue déjà la tête dans tous les sens à l’écoute de cette mixture pour le moins original d’Electro, Metal, Batcore… roh puis merde : cette musique ! (si quelqu’un arrive à me donner un style précis pour qualifier ça, qu’il m’explique…). Bref le groupe n’a pas l’air impressionné et fait se déchainer la foule, je prends un plaisir fou à les écouter alors que je ne connais aucun morceau, ni même le style ! Encore une bonne surprise de ce festival !
ABBATH (Jus de cadavre)
Et pour finir cette seconde journée, direction la blague, que dis-je ? la catastrophe du fest : ABBATH. C'était juste humiliant pour lui. Il était soit complètement torché ou alors il s'en fou de ce qu'il fait. Mais à bien y réfléchir c'était surement les deux en même temps. Une arrivé misérable à base de 3 flammes crachées devant un chapiteau loin d'être plein (on parle d'une tête d'affiche...), un jeu de guitare ou il y avait plus de pains que dans une boulangerie et un je-m’en-foutisme assumé. Voila Abbath en 2018. C'est pas beau à voir et encore moins à entendre. J'avais de la peine pour les musiciens qui l'accompagnaient et qui (eux) faisaient le maximum pour relever le niveau. Des morceaux piochés dans IMMORTAL, dans I et dans ABBATH donc. Ça bouffe à tous les râteliers, ça c'est un signe qu'on a plus rien à dire... Un naufrage je vous dis. Et quand je me suis retourné pour quitter la tente avant la fin du concert... Ben il n'y avait pas grand monde à éviter pour sortir... Rarement vu un tel foutage de gueule.
ABBATH (L’Apache)
Il y a des groupes qui se font une réputation grâce au succès de leurs précédentes aventures. ABBATH, qui doit son nom au pseudonyme de son créateur légendaire, Abbath Doom Occulta, en fait évidemment partie. Ayant taillé sa réputation aux côtés d’un des plus grands noms de la scène Black Metal, nous pourrions attendre de lui d’être irréprochable, surtout lorsque que l’on est en tête d’affiche d’un fest. Et bien je n’irais pas par 4 chemins, le concert était certainement l’un des plus mauvais du weekend. C’est mou, le son est mauvais et Olve Eikemo (Abbath) enchaine les erreurs. Pourtant Dieu sait que j’aime le groupe sur album, et beaucoup de mes morceaux préférés de l’album Abbath sortit en 2016 sont joués ce soir. Mais malgré un bon début de show, plus le concert avance plus les erreurs s’enchainent et je finis par m’assoir et regarder le concert aussi mollement qu’il est exécuté. J’ai la nette impression qu’Olve Eikemo se fout littéralement de son public. En soit c’est très Black Metal, mais pas digne d’un groupe pro comme celui-ci et qui plus est en tête d’affiche.
On rentre donc se "consoler" au camping et nous nous embarquons pour une nouvelle fête de pure folie qui finit, une fois de plus, très très tard...
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