Après la famine des deux années passées, l'agenda des concerts est bien chargé avec toutes les tournées reportées qui arrivent enfin mais presque en même temps. Cela contraint à faire des choix, situation qu'on avait fini par oublier. Il a fallu déjà renoncer à aller revoir Unsane pour des raisons extramusicales voici quelques jours. Ce soir, il y avait une affiche normalement incontournable, à Montpellier, mais le Quadra tour avait été reprogrammé le même jour et, après un peu d'hésitation et une réorganisation dont on reparlera au prochain épisode, c'est bien à Ramonville que je retournai un mois après une autre tournée costaude. Je suis resté fan fidèle de Sepultura jusque dans les moments les plus raides, et la qualité de leurs concerts y fut pour beaucoup pendant les années noires, en plus d'adhérer à leur démarche artistique ambitieuse malgré ses échecs et ses hésitations, plus courageuse que celle de bien des autres groupes établis de la scène (Soulfly au premier chef).
Ce cher Bikini n'était pas complet à l'ouverture car il restait des places en vente, tandis que les uns ou les autres mangeaient des pizzas ou buvaient du rouge le long d'une queue disciplinée dans un crépuscule doux. Je me disais que j'ai dû plus fréquenter cette salle que pas mal de locaux et que, de là où elle est, cela doit émouvoir ma grand-mère Toulousaine. Une fois délesté au passage des contrôles des jolis sentiments, on avait encore le temps d'aller visiter le merch qui était divisé avec celui de Sepultura dans la cour, bien fourni (il y a même des accessoires de batterie signées par Eloy Casagrande) et celui des deux autres groupes à l'intérieur de la salle qui baignait dans un enchaînement de gros tubes du Hard et du Metal de Papa.
Il y avait encore de la place quand CROWBAR prit position sous sa toile de fond fleurdelisée et dans une fumée généreusement envoyée au début. Le micro de Kirk Windstein était décalé sur le côté, de manière à ce qu'il ne puisse chanter en étant dos à la batterie. Son groupe tournait déjà avec Sepultura il y a une douzaine d'années, il portait d'ailleurs sur la tête une casquette à leur nom et en-dessous une barbe toujours aussi fournie. Musicalement, la recette de Doom Sludge massif et relativement propre n'a pas plus changé de direction qu'un mammouth pégueux qui traverserait le bayou sur un tempo uniformément lent et mollasson. Le braillement de Kirk pour chanter et s'exprimer trahissent encore pire qu'avant le passé d'un redneck qui a bien joui de la vie. Ce timbre apportait un peu de saleté à un riffing basique et propre, qui assomme lentement l'auditeur. Crowbar a un son de classique et pourtant bien à lui. Mais il était décidément difficile de comprendre de tels braillements, les réactions aux harangues étaient peu assurées bien qu'on n'eût pas envie de faire de la peine à un bon bougre assez emblématique de la scène culte de Louisiane.
Aux côtés de Down, Eyehategod ou Soilent Green Crowbar passe pour le débonnaire de la bande, mais son orientation est également plus austère, traditionnelle et monochrome. Et pourtant en parlant de ça, on n'avait jamais vu Crowbar avec un tel luxe d'effets d'éclairages, dont je doute de la pertinence. Kirk faisait des duels avec Todd Strange, son bassiste historique qui est revenu dans le groupe après une longue période d'absence, qui apparaissait aussi sur le premier album de Down. Alors qu'on se croyait irrémédiablement envasés dans ces riffs lents et surpondérés, le set changea un peu avec un titre plus aigu et un peu plus touchant malgré sa simplicité, puis des morceaux sensiblement plus rapides. Kirk recourut plus aux gestes pour demander quelques acclamations supplémentaires entre deux petits trots de pachyderme, et le fait est que la salle désormais garnie était attentive tant les styles auxquels Crowbar se rattache sont populaires dans la région. La passion et la longévité du groupe imposent un respect accru. Mais très personnellement j'avais un peu mieux apprécié les fois précédentes.
L'intermède fut meublé à nouveau par un chapelet de classiques… dont du Sepultura. Cette faute de goût laisse penser qu'il y a une liste préparée par style dans le disque dur de la sono….
SACRED REICH commença alors que je faisais encore la file au bar – qui accepte à nouveau les espèces. Le Thrash pur et traditionnel de ce vieux classique venu d'Arizona se déployait dans un mix impeccable se montrait plus intéressant que dans mes souvenirs, même s'il était vite clair qu'il ne monterait jamais dans le rouge. Les longs solos de Wiley Arnett apportaient une tension et une agressivité bienvenue à des riffs sympathiques sur des rythmes suffisamment variés. C'était également sympa de revoir Dave Mc Clain derrière ses lunettes, et plus recroquevillé derrière sa batterie que naguère. Son jeu n'est pas flamboyant de créativité ou de feeling, il est plus Bostaph que Lombardo. Mais sa rigueur est un atout évident pour le quartet : il a accumulé beaucoup d'expérience dans une formation majeure, pendant que ses camarades avaient raccroché puis ne s'étaient reformés que pour une activité limitée. N'empêche que le tempo refusait de passer la sixième et d'accélérer follement à la différence de la plupart des groupes du genre, anciens comme récents. Le t-shirt du guitariste soliste laissait pourtant penser qu'il militait contre la limitation de vitesse à 80…
Le vrai patron est le bassiste chanteur Phil Rind, qui s'est révélé assez bavard. Il expliqua longuement combien il adorait la France et se lança dans de petits prêches assez rebattus entre certains titres, du genre il faut commencer par répandre la paix soi-même pour prétendre avoir un monde meilleur sans compter sur Dieu ou les autres. Sacred Reich est un groupe aux textes engagés, derrière un côté fun typique d'un certain Thrash. Étant assez au fond je n'ai pas eu l'impression que la fosse bougeait follement, mais ça suivait. Et logiquement le père Rind ne boudait pas son plaisir d'obtenir sur le tard une certaine reconnaissance trente ans avant un premier passage sur les bords de Garonne. Le fait qu'il demande si certains avaient déjà entendu son groupe avant témoignait d'une modestie lucide et presque cruelle, en tout cas rare dans le Metal. Au terme d'un set d'un niveau égal de bout en bout, on avait passé un bon moment.
Maintenant, tous les groupes de tête d'affiche ont pris l'habitude de faire donner à bon volume un vieux gros tube subtilement décalé par rapport à leur propre style pour chauffer la foule dans les minutes précédant leur entrée en scène. Ainsi la sono envoya assez fort un "War Pigs" repris en chœur par une partie du public, puis une reprise de "Policia" par un groupe non identifié. À point, l'assemblée accueillit très chaleureusement SEPULTURA qui attaqua par le titre d'ouverture de l'excellent "Quadra" dont la promotion pouvait, enfin, se faire. Déjà qu'on sentait le quartet conquérant, le roulement annonçant "Territory" déchaîna irrémédiablement les passions et une vaste fosse se mit à tempêter. Jamais ce titre n'a été aussi pertinent que de nos jours.
Le programme alterna de nombreux extraits du dernier album et des classiques plus anciens régulièrement annoncés par Derrick le colossal. Il est loin le temps de sa première tournée avec Sepultura où il se montrait quelque peu écrasé par une succession si difficile. Plus aucun procès en illégitimité ne plane, il est totalement à l'aise pour mener la revue, et le mix le met même mieux en valeur que sur album. Entre promotion du dernier album et célébration de l'âge d'or, on pouvait entendre "Kaïros" et son riff simple pour un cri fédérateur, au moins pour ceux qui ont cet album. C'est surtout Andreas Kisser qui dégage cependant un charisme dans son t-shirt Crowbar. Son jeu spectaculaire peut agacer, mais il vibre réellement avec ses guitares pour en tirer les sons qu'il veut et démontre notamment ses qualités de soliste. Pour cette fois où je m'étais mis de son côté, j'ai pu en profiter particulièrement. Quand il exprima son émotion de revenir dans une salle si souvent visitée, ce n'était pas du chiqué. L'euphorie était grandissante d'autant que maintenant le public ne dégage plus cette attitude d'attente semi indifférente envers les titres de la période Greene : s'ils ne dégagent pas la même folie dans le cratère, ça bouge et les connaisseurs font les chœurs. À partir de la moitié du set, les vieux titres devinrent majoritaires et on remonta jusqu'à un "Dead Embryonic Cells" attendu par les "old-school fans" comme les appelle Derrick, qu'il s'amusa à surprendre avec un titre qu'il qualifia de plus rapide encore que les Troupes de la Désolation, l'inattendu "Infected Voice". Il s'avérera plus tard qu'on ne remontera pas plus loin dans le temps, le répertoire des années 80 passant cette fois aux oubliettes.
Le temps avançant, je portai mon attention sur Eloy Casagrande dont la force de frappe s'imposait au-dessus de l'ensemble. Lui aussi a un jeu spectaculaire, très physique. Il n'a plus cette allure de gamin égaré au milieu d'un plan avec les potes de son père. Paulo Jr, lui, a toujours sa discrétion immuable et ce petit sourire qui traverse les âges, si n'étaient ses cheveux blancs; Le succès certain que moissonne ce Sepultura actuel depuis qu'il collabore avec Jens Bogren et la puissance des grands classiques commença à installer dans l'air, à partir de l'incontournable "Refuse-Resist", ce sentiment si particulier où l'on sent que les choses tanguent, que le concert vire à quelque chose de particulier tant en bas que sur l'estrade, impression collective confirmée avec l'impro' sur le classique "Brazil" savoureusement décalé (mais déjà faite par le passé), et sur laquelle Derrick mit des mots en confessant que c'était l'un des trois meilleurs shows de la tournée et qu'il tenait à nous d'en faire le meilleur. "Arise" vint achever la part principale du set, alors que personne ne voulait en finir là.
Sepultura regagna la scène en saluant déjà longuement, et un Braveheart se prépara pour un "Rattamahata" des familles, suivi du traditionnel final bien enraciné et fédérateur, adopté par les fans de toutes les périodes malgré le discrédit assez ingrat dont cet album est frappé maintenant aux yeux de certains. Une vieille scie de Phil Collins enchaîna aussitôt pour doucher brutalement l'allégresse de la foule et nous inviter à sortir.
Isolation/ Territory/ A Means to an End/ Capital Enslavement/ Kairos/ Propaganda/ Guardians of Earth/ Last Time/ Cut-Throat/ Dead Embryonic Cells/ Machine Messiah/ Infected Voice/ Agony of Defeat/ Refuse-Resist/ Arise/
Ratamahatta/ Roots Bloody Roots
J'ai vu Sepultura un certain nombre de fois mais il est certain que c'était l'une des meilleures et probablement aussi un des meilleurs concerts de cette année. La ténacité du combo à livrer toujours de bons shows parallèlement à des albums de qualité fort variable et jamais digestes à première vue, leur a évité de sombrer totalement dans le désaveu général dans les moments les plus difficiles et même à reconquérir patiemment l'attention générale. Maintenant que la qualité des albums studios est remontée durablement, le groupe a presque rattrapé le niveau qui lui semblait promis à une époque. En tout cas ça m'a donné une pêche pas possible, celle qui vous rajeunit d'un coup. Vivement une autre grande affiche. D'ailleurs…
Marrant ça, je vais voir tout ce beau monde demain soir...
Un avant-gout donc...
Je suis pas sûr DU TOUT d'être aussi chaud que toi RBD sur SEPULTURA mais bon... Je jugerai sur pièce hein.
Belle affiche et compte-rendu qui me fait regretter de ne pas pouvoir aller au concert de ce mardi à Paris.
Une éternité que j'ai pas fait un concert et ça commence à manquer grave.
Merci pour ce très bon report car je n’ai pas pu faire le déplacement cette fois ci à Toulouse. Effectivement, Sepultura est une valeur sûre en live comme sur album, et ce, depuis pas mal d’années !
Bon…
Je suis donc allé à ce fameux concert hier soir…
Du coup, je me sens un peu dans l’obligation d’en faire un p’tit report. Certes plus court et surtout bien moins torché que celui de ce cher RBD mais tout de même…
Le bazar se déroulait donc à la Rockhal de Esch-Sur-Alzette au Luxembourg. Lieu où je me suis rendu bieeeeeen des fois car étant à ma connaissance la plus grosse salle du coin (à 1 h 15 de chez moi) proposant régulièrement des affiches plus qu’alléchantes (KISS, JUDAS, AIRBOURNE, OZZY, MEGADETH, MOTÖRHEAD, SLASH, SLAYER, SAXON et j’en passe).
Deux salles proposées en ce lieu : Une grande, le Main Hall à 6500 places et une plus petite, le Club à 1200. A mon grand étonnement, les hostilités cette fois-ci se produisaient dans cette dernière. Plutôt cool pour moi donc de mater la chose dans un espace « intimiste ». Qui plus est convivial car un large et long balcon en U (proposant un bar) a été installé en hauteur de fond de salle… Et je ne le savais encore pas, n’étant allé dans cette salle que deux fois dans mon souvenir : Pour BLACK FLAG en 2013 et plus « récemment » en 2016 pour les frangins CAVALERA lors de leur tournée « Return to roots » (coïncidence ???).
Bref, tout cela s’annonçait plutôt de bon augure…
CROWBAR : Je ne suis pas un fan pur et dur... Mais je sais à quel point leur statut de groupe culte est totalement justifié. Sachant qu’en plus, je ne les avais jamais vu sur scène, ma venue était donc obligatoire. Mon ressenti a donc été sensiblement le même que celui de RBD. Des mecs qui ont de la bouteille, qui n’en font pas des caisses et qui font ce qui doit être fait. Pour dire, les gonzes font leur soundcheck eux-mêmes et enquillent aussitôt leur set. Limite, cela sentait le groupe du coin qui remplace un désistement de dernière minute sur la tournée…
Tout ça pour dire que j’ai vraiment aimé la chose malgré un public clairsemé et assez peu réactif dans l’ensemble. Mais bon… C’était un lundi et les Luxos ne sont pas non plus fort réputés pour leur exubérance devant une scène.
SACRED REICH : Là pour le coup, c’est clairement plus ma came ! Je considère d’ailleurs leur deuxième album comme une pure pièce maîtresse de Thrash Crossover. Eux non plus, je ne les avais jamais vu auparavant. Grosse banane donc pour moi… A l’instar de leur leader qui comme le disait RBD prends gentiment son pied sur les planches, sans se la péter (cela sera d’ailleurs le rendu des trois groupes présents ce soir) et causant beaucoup entre chaque titre (en gros « faites l’amour pas la guerre »). Grosse surprise de leur prestation : La performance de Phil justement. Putain, ce mec a désormais le physique du popoche de quartier qui s’endort en bout d’comptoir au troquet du coin… Et pourtant ! Sa voix est un copié collé de ce qu’il a pu faire sur album. Improbable… Et donc jouissif pour mézigue !
Quand au public, il était plus nombreux et plus en interaction que précédemment.
SEPULTURA : Des fois que vous ne l’ayez pas encore compris, je déteste tout ce qu’ils ont pu pondre après « Roots ». C’est comme ça… Les goûts et les couleurs hein…
De fait, s’il n’y avait pas eu les deux groupes d’entête, jamais je n’aurai fait le déplacement.
Pire ! J’avais même peut-être prévu de partir avant leur montée sur scène (cf. je bossais le jour même dès 6 h 45 et je refaisais la même aujourd’hui…). Mais pris dans l’ambiance du truc, j’ai porté mes couilles à deux mains et ai donc tenté le coup. Après tout, j’avais payé ma place hein…
Bah ce que j’avais prévu c’est produit : J’ai adoré les vieux morceaux et me suis fait chier comme un rat mort sur les plus récents. Pourtant, indéniablement, les gars assurent : Andreas est un putain de grateux qui sait tenir une scène. Leur batteur « stéroïdé » est plus que compétent. Et Derrick… Bordel ce Derrick… Une voix aussi impressionnante que son physique. C’est dire !
Mais bon… Rien à faire… C’est viscéral. D’entendre les solis progs d’Andreas sur les titres post 96 me faisaient débander illico presto. Dommage.
Niveau foule, là, c’était indéniable, la salle était quasi pleine et elle l’était donc pour les brésiliens. Ça bouge, ça pit, ça chante. En causant d’chanter, j’étais entouré de portugais (la communauté portugaise est très présente au Luxembourg), inutile de vous conter donc que cela y allait de ses harangues entre chaque titres envers le groupe. Ambiance donc. Génial. Summum bien évidement sur « Ratamahatta ». Là, les voisins, y z’étaient possédés bon dieu. Plus brésiliens même que ceux sur le plateau ! Un régal.
Légère différence tout de même avec RBD (« maintenant le public ne dégage plus cette attitude d'attente semi indifférente envers les titres de la période Greene) : Sur le tiers restant du set, on sentait clairement que la foule ne réagissait plus que sur les chansons du vieux catalogue.
Voilà, voilà…
Aucun regret donc au final d’avoir assisté à cette date complète. Putain de soirée dirai-je même !
PS : Derrick portait au dos de son t-shirt « Non mangiare animali »…
Mais de qui se moque-t-on ?!?!
Qui peut bien croire qu’une mastoc pareil ne s’avale pas un T-bone matin, midi et soir !!! !!! !!!
Merci Humungus pour ce report fort intéressant qui propose un autre point de vue même si vous êtes en accord sur bien des points, cette zone commentaire est aussi là pour partager ce genre de choses, donc n'hésitez pas !
Top report les gars
Je rejoins totalement Humungus concernant Sepultura.
En revanche ils faut les voir ne serai 'ce que pour le batteur, Eloy CASAGRANDE, qui est probablement ce qu'il se fait de mieux dans le métal en général.
(Voir la vidéo de son jeu à 14 ans ! Ouch !!!) - un prodige.
En effet, n'hésitez pas à exprimer un point de vue différent y compris sur une même date. Je peux rater des choses, et tout simplement comme tout le monde j'ai un biais inévitable causé par mes propres goûts, même si je tâche d'en tenir compte constamment.
Concernant Sepul' ce n'est certainement pas pour rien qu'ils ont exprimé en cours de set à Toulouse leur plaisir à nous voir si chauds : retourner la salle sur les bons vieux classiques était juste normal - encore que sans doute on peut le faire plus ou moins fort ; mais c'est probablement aussi parce que nous réagissions mieux que d'autres lieux aux titres plus récents. Encore une fois, autour de moi j'ai bien senti un regain d'intérêt certain avec les deux derniers albums, qui n'est peut-être pas partagé dans d'autres régions d'Europe tant le public est divers.
Tourista, bien vu :-) Moi je dirais que c'est une décision avisée cela dit, d'autant plus que musicalement, et ça me coûte de le dire, étant un ENORME fan de Venom, mais du Vrai Venom ( Cronos, Mantas, Abaddon), Venom Inc ne propose pas grand chose d&ap(...)
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8 lettres: KHOLOSPVÇa veut dire "coloscopie" en langage mec bourré en fin de soirée.
26/11/2024, 18:14
Je ne suis pas au courant.. il s'est passé quelque chose récemment avec le groupe Al Namrood?
26/11/2024, 14:44