Nouvelle édition pour le festival Winter Rising Fest qui arrive donc à La Grange A Dimes, un très bel endroit situé à Écouen (95). La grange à proprement parlé accueille les concerts, une très belle scène est là, une salle pouvant contenir suffisamment de monde, une hauteur sous plafond assez importante mais la sonorisation du festival n'en souffrira pas, l'ensemble des groupes ayant d'ailleurs eu un très bon son, très peu fort le vendredi et un peu plus le samedi.A l'extérieur une cour qui accueille qui food-truck et une autre salle adjacente où est exposé le merchandising, quelques distros et labels et le bar qui propose pas moins de 6 bières différentes aux saveurs très différentes. Tout ce qu'il faut à un Metalleux lambda est réuni à Écouen sur 2 jours, 15 groupes, 35€ le pass 2 jours ! Le festival est vraiment à faire pour son ambiance, sa programmation pointue et de qualité, une équipe de bénévoles au top à l'accueil impeccable.
Il est temps de parler musique mais avant, un petit point route avec bison futé puisque c'est dernier vendredi des vacances scolaires, ça bouchonne et j'arrive tout juste pour le débuts des festivités et je vais vous livrer mes coulisses à moi puisque sur le running order il est inscrit 18h : Initiation... et bien j'ai cru que c'était un message de bienvenue ou quelque chose du genre, la théorie du sacrifice d'une chèvre s'avère très vite infondée, ce qui fait que je prends mon temps pour flâner un peu à droite et à gauche, saluer quelques personnes... en fait INITIATION est un groupe de Black Death Metal parisien ! Voilà, le weekend est lancé avec un premier loupé.
C'est donc avec le Black Thrash Metal des Belges de DEMONIZER que mon festival débute et la formule ultra efficace du groupe me permet de rentrer de pleins pieds dans l'ambiance du weekend. Le son n'est pas très fort, je n'ai même pas mes bouchons d'oreille, pour autant, on comprend parfaitement ce qui est joué sur scène. Le groupe est de retour après une longue période de split, en effet, les Belges se sont mis en pause après la sortie de leur troisième album, Triumphator en 2008. Depuis 2021, année du retour des Belges, le groupe a publié un single, "1979", et travaille également sur leur quatrième album mais a repris la route après 15 années de silence. En tournée avec ETERNITY, qui sera également sur scène peu après, les Belges montrent des influences à la SODOM mais aussi à la AURA NOIR. Le chant est partagé entre le batteur et le bassiste. Un show solide et efficace, DEMONIZER réussi son retour et c'est déjà une première victoire pour ce groupe dont on guettera la sortie de leur nouvel album.
Pour des raisons que je ne saurais m'expliquer encore, je loupe EXITIUM ! Bon en fait, j'étais en train de manger et je n'ai pas vu l'heure tourner... décidément ! Vous le sentez venir le weekend Spinal Tap ou pas ? La fatigue de la journée commence à se faire sentir, une petite pause avant ETERNITY que je connais déjà un petit peu puisque leur nouvel album est très récent. Mundicide est sorti en juillet dernier chez Soulseller Records et le groupe y développe son Black Metal plus progressif, plus posé, il permet de faire une pause dans cette déferlante de brutalité depuis le début du festival. Les gaillards sont bien en place et le charisme des musiciens qui e compose opère parfaitement de même que l'on est captivé par cette musique plus réfléchie mais qui garde une bonne dose d'efficacité ! Jusqu'ici cantonné à un one-man band, cet album est le premier réalisé en groupe. Le guitariste chanteur, Eternity, est le seul à porter un maquillage très léger, les restes de la précédente formation où les acolytes qui l'entourent n'étaient alors que des membres lives ? Bref, peu importe, ETERNITY va forcément diviser un peu le public et refroidir ceux qui étaient venus secouer de la tête sur des ambiances primaires, mais le public, assez nombreux toutefois, réserve un très bel accueil aux Norvégiens et cela se traduira par un afflux continue au stand merchandising du groupe. Une belle prestation et une belle confirmation pour ma part des capacités de ce groupe à jouer un rôle sur la scène Black Metal Internationale.
Changement de ton et d'ambiance avec le retour des Brésiliens de REBAELLIUN et leur Death Metal certes classique mais très efficace ! Le groupe a, lui aussi, connu une longue période d'inactivité entre 2002 et 2015. Depuis, un nouvel album, Hell's Decrease en 2016 avant que le sort ne s'acharne sur les Brésiliens comme le signalera à plusieurs reprises le chanteur Bruno Añaña. Le groupe perd son guitariste historique Fabiano Penna en 2018 puis son bassiste chanteur Lohy Fabiano en 2022 qui apparait sur leur dernier album en date, Under The Sign Of Rebellion paru en septembre dernier chez Agonia Records. La setlist du soir alterne intelligemment entre les 4 albums du groupe avec une mise en avant évidente du dernier album et l'accueil et tout simplement le meilleur de la journée. Les moshpits, circle-pits sont de rigueur, toujours dans la bonne humeur, le trio est aux anges et se donne sans compter. L'ombre de KRISIUN, de DEICIDE, MORBID ANGEL ou même ANGELCORPSE par cet esprit Black Metal, plane sur la musique du groupe, le Death Metal du trio est efficace et la tête d'affiche du soir met tout le monde d'accord ! La soirée se finit donc en beauté, on aurait aimé un petit rappel mais l'horaire est respecté, peut-être que l'emplacement de la salle ne permet pas non plus d'étirer trop longtemps dans la nuit le bruit même si de l'extérieur, on entend pas tellement la musique mais avec la journée dans les jambes, on est bien content de regagner l'endroit où notre corps va trouver un peu de repos. On bâche pour la nuit et on se dit à demain car le samedi s'annonce tout aussi bien sur le papier.
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Les portes ouvrent au public à 14h, le matin, Olivier, guitariste chanteur de CONVICTION notamment, a donné une Masterclass de guitares à quelques curieux. Ayant dormi à une heure de route de la salle, à Palaiseau, je profite de la matinée pour reprendre des forces. Horaire cible donc 14h, arrivée 15h sur site ! Les lois de la circulation en région Parisienne sont impénétrables ! Quelle galère cette région à tel point que je préfère désormais aller dans d'autres villes pour mes concerts mais bon le Winter Rising Fest méritait bien ce petit compromis !
Et à 15h, c'est HOULE qui ouvre les hostilités ! Le Black Metal des Parisiens développe un concept sur la mer, les membres du groupe apparaissent avec de longs manteaux de pêcheurs, des pantalons et des marinières usées. Le batteur porte carrément le couvre-chef des pêcheurs bretons et il est le seul dont le visage est parfaitement identifiable. Le guitariste et le bassiste se cachent derrière leurs longs cheveux et la capuche de leur long manteau. Des bruits de vague se font entendre entre les morceaux et le Black Metal du groupe prend des allures de Post Black Metal, notamment par le chant d'Adèle Adsa à la présence assez exceptionnelle. Sa gestuelle et son apparence évoque largement une entité sortant des eaux profondes avec ses mouvements brusques, soudains et presque désarticulés, le tout avec un regard perçant un maquillage noir bien prononcé autour des yeux. Au niveau du concept, le travail est donc parfaitement maitrisé par le groupe, musicalement, c'est très solide même si HOULE est encore assez jeune puisque formé en 2021. Avec un EP éponyme à leur actif, et sorti chez Les Acteurs De L'Ombre en 2022, les 30 minutes du premier concert de la journée est vite passé, la prestation de ces Parisiens donne le ton, HOULE a incontestablement marqué des points aujourd'hui.
Après le show intense de HOULE c'est la déferlante de FALL OF SERAPHS qui débarque avec son Death Metal. Le groupe signé chez Memento Mori présente son line-up new look avec l'arrivée de Fred à la guitare et le premier album du groupe paru en 2022, From Dust To Creation est logiquement mis en avant. On pense immédiatement à MORBID ANGEL avec cette brutalité intense de tous les instants, le groupe propose une prestation très solide bien qu'un peu linéaire, le mode rouleau compresseur est enclenché, heureusement, les 30 minutes allouées au groupe passe très vite, pas le temps de s'ennuyer, sur une prestation plus longue j'ai peur que le groupe finisse par tourner en rond, à voir avec la sortie des futurs albums si les Français sont en mesure de diversifier un peu leur propos mais en attendant, cette dose de Death Metal franchement bien fichu fait du bien aux esgourdes surtout avec ce qui nous attend sur le reste de la journée.
En termes de linéarité consentie, GOATSMEGMA nous vient d'Estonie et son War Metal est aussi entraînant et jovial que la pendaison du dernier panda en vie sur cette Terre ! Membres aux instruments cagoulés et immobiles, le regard dans le vide entre les morceaux et un chanteur qui chante avec un masque à gaz contre lequel il plaque son micro. Impossible de déterminer si les cris forment des mots intelligibles et ayant une signification quelconque, mais le résultat est des plus primitifs. Quelques leads totalement déstructurés et balancés telle la jouissance d'un éjaculateur précoce, c'est efficace, concis et les amateurs de BLACK WITCHERY ou BLASPHEMY dont le batteur porte un T-Shirt d'ailleurs, sont en terrain conquis ! Goat Separatist Movement est sorti en 2022, le deuxième album de GOATSMEGMA avait été propulsé par Godz Ov War Productions. Quelques rares leads bruitistes et totalement destructurés viennent traverser cet amas de brutalité épaisse, le genre de groupes qui plait ou déplait mais qui ne laissent pas indifférent.
Setlist GOATSMEGMA : Extreme Goat / Decapitating the Holy Prisoners / Fornicating in Goat Feces / Burning / Enforcing Genocide in Order to Fulfill Lucifer's Will / Slicing / Endless Priest Mutilation / Atonement Through Deep-Throating Goat's Testicles / Goat Metal Propa / Urophiliac Human Sacrifice
Après le War Metal venu de l'Est de l'Europe, voici le Black Metal des Portugais d'IRAE. Là aussi, on est dans la pratique d'un style old-school sans que l'ajout d'originalité ne soit recherchée le moins du monde. Le one-man band mené par Hugo "Vulturius" Leal (KOMMANDO BAPHOMET, MORTE INCANDESCENTE, DECAYED) pratique un Black Metal très froid qui n'est pas sans rappeler IMMORTAL ou MONS VENERIS si on veut rester dans le Sud de l'Europe. Aucune concession, body-painting, symboles antichrétiens bien apparants, la tradition s'affiche sur les planches et IRAE se pare d'un nouveau line-up live avec l'ex-SUMMON, Diogo Santana à la basse, une basse 5 cordes mais sur laquelle, uniquement 4 sont mises, et le batteur João Galrito (INFRA). Le groupe signé chez Signal Rex défend son dernier album en date, Assim Na Terra Como No Inferno, qui a déjà été suivi d'un split, We Are The Ashes, qu'il partage avec COLDNESS, un autre groupe de Black Metal Portugais. 30 minutes d'intensité Black Metal old-school qui tournent cependant vite en rond d'autant que l'accueil du public n'est pas des plus fous après les tornades qui sont passées en début d'après midi, le timing fait que IRAE tombe au moment où le repos est de vigueur surtout que ce qui va suivre ensuite est ultra attendu. N'empêche que les Portugais ont délivré un show solide où l'unité semble de mise là où les one-man bands portés sur la scène font ne montrent que très rarement un aussi bon visage.
Setlist IRAE : A Blaze In The Mist / Ratazanas / Majestade De Sangue / Order Of The Black Goat / Dangerous Magick Spellz / Procreationg Madness / A Um Passo Do Fim / Horns Of Doom
Je vous l'ai dit, après c'est du lourd, en tout cas pour le public de connaisseurs ! Personnellement j'étais passé totalement à côté de THAGIRION qui monte sur scène pour un Black Death Metal percutant qui m'évoque MARDUK, 1349 par son impact sur le public et l'intensité qu'il met dans sa musique. Cela passe par le chanteur très charismatique, Spir Ignis, nouveau vocaliste de HELL MILITIA, en entrant dans la salle j'ai l'impression de voir Michael Stanne de DARK TRANQUILITY, qui aurait l'allure de Fernando Ribeiro de MOONSPELL. Le groupe est mené par le guitariste Vagus Nox (MALKHEBRE, ABBATH, MAYHEM sous le nom de Silmaeth) et le batteur César Vesvre (RUÏM, ex-DEATH DECLINE). Le groupe basé à Paris a sorti 2 EP dont le dernier Towards The Black Sun Of Violence le 19 septembre dernier, toujours en autoproduction. Le résultat est d'une efficacité dingue, une sorte d'aura mystique opère autour de la musique du groupe et le public est massé dans la salle. Spir Ignis tient le public dans ses mains et ne s'économise pas. La violence fait rage pour autant, on note des qualités mélodiques dans ce Black Metal intense, un mélange très intelligent qui montre une capacité d'écriture hors-norme tout en pratiquant un Black Metal assez standard dans les codes qu'il utilise, mais quelle personnalisation, quelle appropriation du genre par des gaillards qui raflent clairement la mise sur ce weekend ! A surveiller de très près car dans la nuée de groupes de Black Metal, THAGIRION est un nom à garder en tête, dans la mienne, il est désormais imprimé en lettre d'or !
Il y a des fois, discuter avec les musiciens d'un groupe aide à comprendre ce qu'ils veulent faire véhiculer à travers leur musique. J'ai discuté de façon inopportune avec le bassiste d'AKROTHEISM qui prend la suite. Le groupe vient de Grèce et est signé chez nos français d'Osmose Productions. Là la puce à l'oreille est mise, cela va être d'une grande qualité. Et bien vous savez quoi, c'est exactement ça. On nage en plein Black Metal ésotérique à la NIGHTBRINGER, ACHERONTAS et le guitariste me parlera ensuite des français de MIRRORTHRONE, les amateurs apprécieront. Le petit chanteur ne manque pas de présence et de voix ! Ça joue très bien, les ambiances sont là et on entre au fur et à mesure dans le show d'AKROTHEISM qui réussi à m'amener avec lui dans son univers beaucoup moins direct, plus subtile que ce à quoi nous avons eu droit jusque là. 40 minutes qui permettent au groupe d'accrocher quelques âmes dans le public et on sentira ensuite, au stand merchandising, que le public est resté plus discret durant le concert des Grecs mais parce qu'il était, en fait, fasciné par leur musique profonde. Il faut donc saluer la programmation du Winter Rising Festival qui a su mettre AKROTHEISM en valeur dans cette position. Law Of Seven Deaths, leur deuxième album paru donc chez Osmose Productions, date déjà de mars 2019 mais les titres passent parfaitement le test de la scène. Le groupe a fait le voyage exprès pour ce concert, est présent sur site depuis la veille et profitera de la journée de dimanche pour visiter Paris avant de repartir en Grèce, la vie de groupe a parfois de bons côtés. Excellent weekend pour ces Grecs qui auront réussi leur passage en France, c'est certain !
Les princes du Heavy Black Metal français déboulent avec cuir, maquillages, bracelets à clous et majeurs bien levés à qui veut les voir ! SACRIFIZER prend place pour un show que les amateurs de NIFELHEIM apprécient forcément. Le Heavy Metal bien énergique a des allures de Black Metal à la DARKTHRONE, VULTURE, HEXECUTOR ou DEATHHAMMER. Le show est ultra dynamique, le grand chanteur Sexumer n'est pas avare en mouvement sur scène, il provoque le public qui répond au quart de tour. Il semble de toute façon que SACRIFIZER faisait déjà l'unanimité dans la fosse avant même la première note. Le groupe de Mulhouse a en son sein le bassiste avec les excellents DIONYSIAQUE, lui également bouge énormément, alerte le public, crache des gorgées de bière et lève son majeur avant d'entamer le titre suivant ! La musique du groupe est hyper efficace, l'esprit old-school est là, certains pourront être surpris par l'attitude du groupe assez peu respectueuse à travers les insultes, les vulgarités et les gestes mais c'est, dans les codes en tout cas, bien plus Black Metal que beaucoup de groupes qui glissent des mercis et des "c'est gentil d'être là" entre deux appels au massacre des religieux... Toujours est-il que l'unique album du groupe, Le Diamant De Lucifer, paru en 2022 est bien représenté et le groupe a su faire monter la pression pour le groupe suivant, lui aussi, très attendu par le public du Winter RIsing Fest.
Je ne m'étais jamais intéressé à HELL MILITIA jusqu'à ce concert. Je suis donc totalement vierge en la matière et la claque est totale ! L'ambiance déjà ! Le groupe projète des vidéos au sujet divers mais très souvent très sales, manipulation scientifique, exactions religieuses, les images ne sont pas choquantes en elle-même mais leur impact accompagné de la musique du groupe est un uppercut ! Spir Ignis assure son deuxième concert de l'après-midi, et vu ce qu'il donne, ce n'est pas une mince performance, rien que pour ça respect, mais ensuite, il y a cette paire de guitaristes qui te décochent des riffs tous aussi saisissant les uns que les autres. L'incarnation de ce que HELL MILITIA a pu faire jusque là est parfaite, si on ne sait pas qu'il y a eu un changement de line-up récemment, on y voit que du feu ! C'est surtout Saroth (TEMPLE OF BAAL, THE ORDER OF APOLLYON) que j'ai face à moi et il est totalement habité par le Black Metal intense du groupe. On retrouve l'esprit de THAGIRION qui est passé plus tôt avec un côté plus sale qui nous renvoie directement vers MAYHEM. Le groupe parisien qui avait disparu durant 10 ans avant de signer son retour avec Hollow Void en 2022, est clairement en pleine possession de ses moyens. L'accueil du public est immense, les pogos se multiplient et les 55 minutes de show passent à une vitesse folle. Excellent retour aux affaires pour HELL MILITIA qui va également faire l'objet d'une attention particulière de ma part !
Setlist HELL MILITIA : Burning Human Pigs / Fili Diaboli / Dust Of Time / Black Arts Of Crime / Jonah / Always The Same / Black Fucking Cancer / Jacob's Ladder / Corruption Rejoice
Enfin, le festival se conclue avec LUCIFERICON et son Death Metal ultra classique. L'heure tardive n'aide peut-être pas, la déferlante HELL MILITIA juste avant également, mais les Néerlandais ne réussissent pas vraiment à convaincre le public qui est resté, soit environ la moitié de la salle. Le Death Metal est bien old-school, on pense à THANATOS, mais le chant manquant de coffre de Rob Reijnders fait un peu pale figure par rapport à ce que l'on a vu jusque là. Le dernier album en date du groupe, The Warlock Of Da'ath, publié en 2022 est logiquement défendu, peut-être que plus tôt dans la journée, avec moins de fatigue, l'impact du groupe aurait été tout autre. Là, on assiste plutôt à une fin de festival en redescente par palier avec le show de LUCIFERICON. Pour la petite histoire, le groupe partage le guitariste, Alex Verhoeven, avec les excellents PENTACLE.
Setlist : Obscure and Forbidden / The Veils of Negative Existence / Zsin-Niaq-Sa / Inside the Serpent's "I" / Benediction Of The Red Earth / Intrinsic Being / Deathtongue / Khidir's Urn / Sigillum Azoetia - The Map of Possibility / Warlock Of Da'ath / Septuple
Le festival est terminé, l'équipe de bénévole, l'équipe technique l'a fait ! Malgré toutes les difficultés, l'équipe est resté opérationnelle, concentré sur le bien être des artistes et du public avant tout. Un festival avec une excellente ambiance, où la discussion avec des inconnus est très facile, un festival à taille humaine où il fera bon retourner si l'aventure continue après ce changement de lieu pour arriver à Écouen. Bravo à ces bénévoles pour cette programmation old-school de qualité et un énorme merci à titre plus personnel à Thibaud et Kévin pour l'accueil aux petits oignons.
Top Festoche encore cette année.
Je rejoins Simony.
Je n'ai pu y être que le Samedi.
Thagirion et Goatsmegma ont été 2 belles claquasses
Par contre Hell Militia Oo Groupe que j'avais perdu de vu aprés Jacob's Ladder avec Meyhna'ch.
Quelle dinguerie - le son - les sicos - l'energie - tout y était. La régalade.
Putain que ca fait du bien.
"...jouer un concert en Arabie Saoudite. Un honneur absolu et un privilège. Les loups du nord apporteront la tempête hivernale à Riyad !"Un véritable honneur absolue de jouer en Arabie Saoudite, la ou les apostas sont condamnés &agra(...)
21/11/2024, 08:46
Quand on se souvient du petit son des années 80... Mais la prod ne fait pas tout, ça reste du pilotage automatique. C'est pas avec un truc pareil que je vais me réconcilier avec eux, et ça fait 20 piges que ça dure.
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J'avais pas vu cette chronique. J'étais au soir avec Ulcerate et je n'ai pas du tout regretté...Le lieu : il y a forcément un charme particulier à voir ce genre de concert dans une église, surtout que le bâtimen(...)
15/11/2024, 09:51
Le who's who des tueurs en série. Un plus gros budget pour l'artwork que pour le clip, assurément. (...)
14/11/2024, 09:20
J'imagine que c'est sans Alex Newport, donc, pour moi, zéro intérêt cette reformation.
11/11/2024, 16:15
NAILBOMB ?!?!?!?!Putain de merde !!! !!! !!!J'savais pas qu'ils étaient de nouveau de la partie !!!Du coup, je regarde s'ils font d'autres dates...Ils sont à l'ALCATRAZ où je serai également !Humungus = HEU-RE(...)
11/11/2024, 10:09