NARCOTIC WASTELAND (Death Metal, USA), le projet à temps plein de l'ancien frontman de NILE Dallas Toler-Wade, devrait bientôt dévoiler de nouveaux morceaux. Pour satisfaire les fans en attendant, le groupe a ressorti le premier album éponyme publié par Megaforce Records / MRI en 2014.

Dallas déclare: "J'ai quitté NILE pour de nombreuses autres raisons qui resteront non divulguées, pas seulement pour les raisons qu'ils ont détaillées dans leur déclaration, qui étaient «pour se concentrer sur mes propres plans et enregistrements». Cette citation n'est pas de moi.

"J'étais déjà en train de consacrer beaucoup de temps et d'énergie à NARCOTIC WASTELAND lorsque NILE n'était pas occupé à écrire ou à faire des tournées. J'avais l'intention de faire des concerts et des albums avec NARCOTIC WASTELAND sur mon temps libre, car j'aime rester occupé. Je continuerai a composer tant que je pourrais. À partir de maintenant, NARCOTIC WASTELAND sera mon principal objectif musical. "

Le concept sous-jacent du groupe reflète son homonyme et la ville où Dallas, Edwin et Chris ont grandi. Fayetteville, en Caroline du Nord, une ville militaire, a un taux de trouble de stress post-traumatique  jusqu'à 75% chez les hommes et la ville est la mieux classée aux États-Unis pour le syndrome du bébé éveillé. La disponibilité des drogues dans la rue est étonnante et l'épidémie de dépendance aux médicaments  toujours croissante est un environnement extrêmement toxique et instable pour grandir et vivre.

Dallas ajoute: "En dehors de l'armée, pour nous, il n'y avait rien à faire que de travailler à des emplois peu rémunérés et de prendre de la drogue. Rien à faire que d'être en difficulté, mais la musique nous a sauvé d'une existence autrement déprimante, car il n'y avait pas d'issue positive là-bas que la musique pour Edwin, Chris et moi. Bien que les drogues et la mort forment un sujet principal, ce n'est pas le seul sujet. Nous, en tant que groupe, ne voulons pas trop de limitations Sur ce sujet, on parle d'un tueur en série le plus célèbre de Caroline du Sud (Donald Henry Gaskins) et une autre chanson à un message anti-religion. Comme je l'ai dit plusieurs fois au fil des ans, Iron Maiden n'écrit pas que des chansons sur les vierges de fer !